Tout champ électromagnétique va de pair avec un composant appelé champ de torsion (par les chercheurs russes Nachalov, Tarasenko, Shipov et Akimov), ou champ scalaire (Bearden), ou bien encore champ d'axion ou champ de spin. En effet, ces champs de torsion résultent de la nature des spins (moment angulaire des particules) : en pivotant sur elles-mêmes, les particules transportent de l'information sans énergie. Il y a des champs de torsion statiques et dynamiques.
Ce texte a été écrit pour être mis en annexe au dossier réalisé lors de l'étude de cas dans la région de Chatelaine.
Le champ de torsion statique est spécifique à chaque objet (forme). Ainsi, le pylône portant les antennes possède un champ de torsion statique. Tout champ électromagnétique artificiel d'une zone de l'espace a une composante torsionnelle dynamique gauche. Celle-ci, via la mise à la terre des structures, va circuler dans les failles sur de grandes distances, sans transfert d'énergie; la molécule d'eau, qui est un dipôle électrique, peut s'imprégner des ondes électromagnétiques, mais elle peut aussi garder en mémoire pendant 3 semaines (Glen Rein) les ondes scalaires, jouant ainsi un rôle primordial de médiateur entre matière et énergie.
Comme d'autre part, notre cœur et notre cerveau sont producteurs de champs électromagnétiques décelables (électroencéphalogramme, électrocardiogramme), ils sont eux aussi générateurs de champs de torsion internes naturels qui pourront être altérés par résonance : les ions orbitant autour du noyau dans nos cellules réagissent par résonance au champ de torsion externe. Enfin, on peut penser que ce champ de torsion interagit aussi avec celui de la double hélice d'ADN, en perturbant la libération des biophotons qui sont impliqués dans le déclenchement de toutes les réactions biologiques des cellules vivantes.
Les nuisances informationnelles sont captées par les cellules vivantes (théorie des biophotons de F.-A. Popp, résonance cyclotronique, théorie des champs de torsion) dont elles peuvent modifier le fonctionnement par action sur l'ADN.
Françoise Heitz, webmaster, 25 février 2008