Article du Dr Guy Londechamp
Décrit par Gérald H. Pollack depuis plus de 20 ans (docteur en ingénierie biomédicale, professeur chercheur universitaire à Seattle aux USA et fondateur de la revue Water), l'eau cristalline liquide est un état particulier de l'eau, entre eau et glace, présent partout dans la nature et dans nos corps (« le Quatrième état de l'eau, au-delà de l'état solide, liquide ou vapeur » aux éditions Extraordinaires en 2019).
Ses travaux éclairent de manière magistrale des phénomènes inexpliqués ou ignorés que nous avons sous les yeux dans la nature : pourquoi des nuages qui contiennent des milliers de tonnes d'eau flottent-ils dans l'air ? Comment certains animaux ou insectes marchent-ils sur l'eau ? Comment la sève peut-elle monter à 100 m de haut dans un séquoia ou comment font une racine d'arbre et parfois une petite plante pour soulever et fissurer le bitume ?
L'eau EZ (= zone d'exclusion) décrite par Pollack est une zone très ordonnée, dite eau structurée, ou les molécules d'eau s'agencent de manière très forte créant un réseau cristallin au contact des matériaux hydrophiles (métaux, protéines et ADN, verre, minéraux..mais aussi l'air ambiant), en excluant les éléments dissous et des atomes d'hydrogène vers l'extérieur du réseau. Les charges négatives associées au réseau ordonné d'atomes d'oxygène créent une batterie naturelle avec l'eau chaotique chargée en protons et éléments dissous, ce qui produit une énergie électrique mesurée par Pollack en laboratoire, dont l'intensité dépend de la force de structuration.
La lumière augmente la quantité d'eau EZ et la structuration, ce qui fait dire à Pollack que « la batterie à zone d'exclusion pourrait bien être à l'origine de la production de la plus grande partie de l'énergie de la nature ».
Cette eau-énergie peut être convertie dans le corps sous différentes formes: chimique, électrique, mécanique…et notre santé dépend donc de la qualité de notre eau intérieure et de la quantité d'eau EZ produite ou absorbée au quotidien (nous sommes faits de 70 % d'eau en poids et de 99% d'eau sous l'angle moléculaire).
Le terme « eau structurée » a été décrit depuis un siècle par les physiciens russes, associée à l'étude des champs de torsion ou vortex (naturels ou artificiels) et au concept de « LA MÉMOIRE DE L'EAU ».
En France dans les années 1970, le Pr VINH LUU s'est intéressé au fonctionnement de l'homéopathie avec un spectroscope Raman laser (qui permet de mesurer les variations d'énergie d'une molécule au photon près); il a mesuré la variation des valeurs électromagnétiques dans les solutions d'eau, dans lesquelles des substances avaient été diluées.
Après la 12e dilution, il n'y a plus de molécules diluées, seulement de l'eau et les différences de fréquences mesurées ne peuvent s'expliquer que par la modification structurelle du solvant, c'est à dire l'eau. L'eau garde donc une empreinte de la substance de départ et peut la transmettre à toutes les autres dilutions préparées ensuite, indéfiniment !
Cette empreinte est une nanostructure moléculaire, c'est à dire une structure géométrique à trois dimensions formée par les molécules d'eau. Et chaque nanostructure porte une information spécifique, sa signature fréquentielle… qui est la mémoire de la substance de départ, et le support de son action biologique.
Ces travaux remarquables du Pr Vinh Luu ont été repris ensuite par le Pr Benveniste, qui a subi une cabale en règle pour ridiculiser cette approche informationnelle, dangereuse pour la vision matérialiste et les compagnies pharmaceutiques…
Imaginez que l'on puisse soigner avec de l'eau structurée; pas seulement des êtres humains mais les animaux, les plantes et la nature toute entière… sans accumulation toxique de molécules nocives dans l'environnement !
Le monde pourrait changer trop vite…
Puis par le Pr Montagnier, prix Nobel de médecine 2008) qui a apporté une éclatante confirmation : « l'information d'une molécule d'ADN (bactérie ou virus de 100 à 400 paires de bases) peut être transmise dans l'eau par voie électromagnétique….toute molécule émet un signal propre, sa signature vibratoire qui est unique, transmissible par les ondes porteuses du milieu ambiant.
Ce signal est enregistré par le rayonnement et transmis à distance, où il s'inscrit dans l'eau sous forme d'une nanostructure…
Les enzymes polymérases, chargées d'assurer la réplication de l'ADN dans les organismes vivants, savent lire les conformations de l'eau depuis des milliards d'années; l'ADN ne peut vivre sans eau, et cette sorte de gel d'eau autour de l'ADN contribue à sa stabilité et soutient son fonctionnement local et à distance…
On peut faire une chaîne d'ADN en quelques secondes, c'est d'une efficacité extrême; les polymérases lisent les nanostructures d'eau et appelle à distance les nucléotides pour fabriquer des molécules d'ADN correspondant au signal électromagnétique perçu…et ceci n'est plus une hypothèse. »
Extrait de la revue NEXUS n°81 de juillet/août 2012 et du n° 143 de novembre/décembre 2022.
Et de conclure :
« L’EAU A LA CAPACITÉ DE COPIER L’ADN D’UN ORGANISME VIVANT ET DE TRANSMETTRE CETTE INFORMATION À D’AUTRES ORGANISMES VIVANTS, DONC D'ÊTRE CONTAGIEUSE SANS QU'IL Y AIT PRÉSENCE PHYSIQUE DU GERME, SEULEMENT DE SA FRÉQUENCE électromagnétique SPÉCIFIQUE. »
PS : et une goutte d'eau = 1 Go de mémoire soit l'équivalent de l'ADN humain (Pr Marc HENRY université de Strasbourg)