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Formes et conscience

Les principes de la physique quantique appliqués à la biologie et la psychologie sont à même de bouleverser totalement notre manière de vivre et nos rapports avec la nature… mais aussi avec la santé et la maladie. 
Si les champs sont la seule réalité et, si les champs magnétiques sont porteurs de l'information, c'est-à-dire de la conscience qui organise et régit les formes d'existence (et leur évolution) alors nous devons rendre compréhensibles ces concepts et leurs conséquences dès l'école maternelle.

Forme et conscience réflexion sur l'adn

La seule façon de faire évoluer notre monde vers plus d'ordre et d'harmonie, donc de développer des rapports sains avec le monde et avec nous-même, est de lutter contre l'ignorance. Un enfant encore proche de sa nature subtile s'appuiera sur le ressenti et le sentiment pour appréhender la sagesse du monde dans lequel il vit et il gardera dans sa vie d'adulte cette référence aux lois universelles, si ses antennes de réception à cette sagesse naturelle n'ont pas été repliées ou détruites par une « éducation » pervertie. Reste à former les formateurs… C'est le pari de notre époque. 
La vision proposée par Jacqueline BOUSQUET est susceptible de faciliter cette compréhension par le plus grand nombre d'entre nous ! Les passerelles installées entre la physique et la biologie nous montrent clairement le changement complet de paradigme en cours.

LES APPORTS DE LA PHYSIQUE

La seule réalité est le champ, sa nature est immatérielle; il est l'expression de la conscience, il dépasse les concepts de temps et d'espace (qui concernent son extériorisation, pas son essence). Il en découle que ce monde, notre corps sont le produit de notre conscience qui englobe tout ce qui est visible, c'est-à-dire l'univers entier tridimensionnel.
Sous cet angle, la maladie est une distorsion dans une hiérarchie de champs, une sorte d'incohérence vibratoire ou de rupture de transmission (interférences dysharmoniques : relations avec transposons*, A.R.N interférents, virus…). Si les neutrinos, vecteurs d'information du champ magnétique de la conscience, sont les seules «particules» susceptibles de transmuter un atome en un autre, et que rien ne les arrête, on peut imaginer facilement que la conscience qui les produit peut tout changer instantanément, puisqu'elle ne dépend pas du temps, et qu'elle n'a pas d'obstacle.

UN EXEMPLE CONCRET

concernant la médecine : celui des protéines prion impliquées dans les encéphalopathies spongiformes : maladie de la «vache folle» (article publié dans Nature du 18 mars 2003, King et Coll, et Tanaka et Coll, pp 319-323 et 323-328). Les auteurs proposent une explication très convaincante des propriétés des différentes souches de protéine prion selon leur structure tridimensionnelle; ces protéines ont exactement la même séquence linéaire, mais pas la même forme dans l'espace, ce qui fait parler de «souches» et de barrière d'espèces : chaque forme spatiale est associée à une forme particulière d'encéphalopathie spongiforme et un spectre d'hôte spécifique… mais l'enchaînement d'acides aminés qui constitue les différentes protéines prions est invariable. C'est donc la forme de cette protéine qui détermine une fonction normale de transmission neuronale dans le cerveau, ou son «pouvoir infectant» ! On parle d'infection sans germe identifiable, seulement d'effet de proche en proche avec la destruction progressive des fonctions cérébrales, puis de la structure et la mort.

Une forme = une vibration, écrit J. BOUSQUET. Est-ce qu'une vibration doit être considérée comme une infection? On dit bien d'une attitude ou d'une pensée qu'elle est infecte, ou d'un comportement qu'il est contagieux. Si c'est le cas, nul besoin d'un germe extérieur pour se rendre malade. On peut se rendre malade avec une information seulement, et sans contact extérieur (nul besoin de transmission par salive, urines, selles…). Est-ce qu'on peut se «vacciner» contre toutes les informations immatérielles qui font irruption dans notre champ de cohérence, et qui déterminent perte de sens et désir de vivre dans ce monde, quand la conscience est focalisée sur d'autres champs de référence ?
La pulsion de la jeunesse de notre monde «civilisé» vers les drogues et le suicide, ou la difficulté à se projeter dans un travail est un élément de réponse….

*Transposons : Petits bouts d’ADN qui passent d’un endroit à un autre dans un même organisme ou d’un organisme à un autre dans la nature. C’est comparable à un virus sans capsule mais comme il existe des virus nus sans capsule, il est difficile de faire la différence. Barbara Mc Intosh, prix Nobel de biologie, y a consacré l’essentiel de sa carrière.

LES APPORTS DE LA BIOLOGIE

adn-cellule-hommeA l'échelle de l'ADN, ces observations prennent corps grâce aux travaux de F.A. POPP, de Barbara McClintock (transposons).

On accorde beaucoup d'importance aux gènes de structure (exons) parce qu'ils codent pour les protéines, et qu'ils représentent un «champ de profit» potentiel énorme pour les multinationales utilisant les bio-technologies. Quand on prétend avoir décodé l'ensemble du code génétique humain, on «oublie» au passage de préciser qu'il ne s'agit que de la reconnaissance des suites de bases, c'est-à-dire de la structure linéaire primaire de l'ADN. On oublie aussi de préciser qu'on ne sait toujours pas à quoi servent les introns (séquences répétitives non codantes incluses dans l'ADN, représentant 90 % de l'ADN total). Si la structure tridimensionnelle de la protéine gouverne sa fonction (cas du prion), c'est la reconnaissance spatiale qui donnera la compréhension des mécanismes clefs/serrure dans l'ADN, notamment décrits par Jacques BENVENISTE, tant décrié pour ses travaux sur la mémoire de l'eau et la biologie numérique.

Si l'ADN, considéré comme un cristal semi-liquide (et non périodique dans les séquences codantes pour les protéines) devient un cristal périodique dans les introns, ces séquences sont accordées à une longueur d'onde précise, et enroulées dans l'espace tridimensionnel selon une forme très précise également. Ces «antennes» protéiques permettent le jeu de «la musique des sphères» de PLATON, c'est-à-dire tous les phénomènes de résonance entre toutes les parties de l'espace corporel (et à distance) ! La distribution hologrammique de la mémoire et le partage d'informations entre toutes les parties en découle naturellement, puisque l'ADN possède cette propriété d'émission cohérente de type laser ultra-faible d'après POPP, condition physique indispensable pour obtenir une distribution hologrammique d'informations.

On peut facilement se représenter l'ensemble de ces séquences comme un poste à modulation de fréquences (ou de chaînes TV) nous connectant en permanence sur toutes les fréquences du monde vivant ou de l'univers; le réglage et l'efficience de ces antennes dépendant alors du positionnement de la conscience (direction pour D), de la longueur d'onde (nombre de bases pour N) et de l'amplitude (forme déployée correctement dans l'espace pour A). C'est notre DNA subtil exprimant le jeu de notre conscience dans le monde des formes.

Détail amusant : c'est dans cet ADN non codant pour le corps physique que se trouvent les séquences spécifiques de notre identité biologique recherchées lors des enquêtes criminelles.

Sous cet angle (une vibration = une forme), il suffirait de connaître la longueur d'onde correspondant à un intron, de traduire les changements de courbure et d'enroulement en changement de rythme dans les notes (musique à 4 notes = 4 bases dans l'ADN), et de jouer la musique d'une séquence de l'ADN pour observer les effets sur les organismes de réception : cultures cellulaires, végétaux, structures protéiques tridimensionnelles en milieu liquide… ou ordinateur. Plus besoin d'expérimentation animale puisque la forme change selon l'espèce et le champ de conscience, et que ce n'est pas la séquence d'acides aminés qui compte pour la fonction… mais la forme !

Trois expériences scientifiques de pointe confirment cette vision

  • La chimie risque d'être réduite à sa plus simple expression, ce que BENVENISTE avait déjà commencé à expérimenter (cf. article Biologie numérique en bibliographie).
  • Une expérience troublante, faite sur des plants de tomates par un chercheur français, Joël STERNHEIMER (voir bibliographie) et qui confirme leur réceptivité aux fréquences modulées.
  • Les structures mathématiques (suite de FIBONACCI et nombre d'or) découvertes par J.-C. PEREZ dans l'ADN (voir bibliographie) qui montrent l'organisation structurelle et rythmique très rigoureuse de notre ADN et le danger du «bricolage génétique (transgénèse)»

 

Tout nous pousse vers la «physique modulatoire» appliquée à l'ADN et la compréhension du vivant, ce qui apporterait une réponse très rapide aux problèmes de pollution, de maladies galopantes comme les cancers induits par l'environnement chimique ou physique : micro-ondes, radioactivité, etc.

Le problème de fond réside dans le coût de la recherche, et le faible rapport qu'on peut en espérer. Produire des fréquences ou des antennes peut être « simple » techniquement et peu coûteux… et si la vibration de la protéine envoyée au corps d'une manière appropriée permet l'expression d'une fonction physiologique (ce que F. POPP paraît avoir vérifié pour des corps simples), plus besoin d'insuline ou d'hémoglobine (de sang) ou d'anticorps (immunoglobulines) demain, et plus de risques de contagion non plus : Sida, hépatite C….

medecine-officielleET LA MÉDECINE DANS CE CONTEXTE ?

L'approche clinique, médicale s'en trouvera bouleversée profondément. Tout est à repenser en termes de conscience et de champs de référence (croyances, éthique, idéal, valeurs essentielles, notions de sens), mais aussi de positionnement du thérapeute. Si notre conscience produit les formes et influence leur évolution (transformation ou déformation), c'est encore plus important d'informer le monde médical de ce pouvoir immense, et de la responsabilité qui va avec. Les mots (les sons, la musique) programment l'ADN, la mémoire et la trajectoire du patient, mais les pensées aussi puisque notre monde est d ‘abord un monde immatériel, mental.
Toute approche de soins informationnels (seuls susceptibles de changements réels de structure via les neutrinos) nécessite l'apprentissage de techniques de bio-résonance, de mise en écoute et de dialogue respectueux avec le corps et la conscience (toucher physique ou subtil, pouls, kinésiologie, appareils divers de testing…).

L'installation d'un dialogue verbal et non verbal permet de comprendre plus profondément l'individu et son organisation globale : pas seulement les atteintes corporelles visibles sur lesquelles on met un diagnostic pour un traitement standardisé, rationnel et «scientifique» (statistique en fait), mais aussi son environnement affectif et professionnel, ses croyances, son alimentation, ses épreuves de vie. C'est beaucoup plus long et plus complexe, et parfois il n'y a pas de solution toute faite pour tout le monde. On passe de la cantine scolaire» au menu à la carte dans un restaurant que l'on choisit par goût ou affinité (résonances affectives ou mentales).

L'expérience de plus de 40 ans de pratique d'auriculo-médecine m'a montré la validité et l'efficacité de cette approche, corroborée actuellement par les scientifiques de pointe que sont les physiciens, qui reste hautement perfectible grâce aux moyens techniques de visualisation qui seront disponibles à grande échelle demain. Certains appareils permettent déjà de voir les rayonnement émis par le corps et leur modification lors d'un soin de ce type. Attendons-nous à de grands progrès par les rapprochements entre physique, biologie et métaphysique.

L'utilisation de tests de résonance (grilles de lecture et de décodage) basés sur des formes géométriques et les métaux du corps (ce sont les métaux qui sculptent les protéines dans l'espace), montre une réponse du corps immédiate par les pouls; autant lors des questions sur les circuits ou organes (physiologie) que dans l'exploration des croyances ou programmes psychiques (événements éducatifs ou affectifs déformants, héritages émotionnels transgénérationnels), et tout aussi rapides lors des inductions thérapeutiques, même non verbales (changement instantané, ou en quelques secondes, des grilles de lecture et des repères de mesure au pouls).

Cela atteste le contact avec la distribution hologrammique d'information et le fait que le passé de l'individu est dans son présent, à l'instant même du soin, de même que son avenir puisque la trajectoire de la maladie change avec une induction constructive, néguentropique, porteuse de sens.

le-temps-relatif-matiereC'est pour moi une confirmation des travaux d'Emile PINEL. Le temps n'existe pas sous la même forme dans notre psychisme linéaire, passé-présent-avenir, et dans nos cellules ou dans le cerveau, où le passé et l'avenir sont des «couches électroniques» interactives, des orbites fréquentielles chargées de vécus, d'images qui restent actives sur le plan physiologique quand on les évoque (sueurs, spasmes, accélération cardiaque, blocage respiratoire, diarrhée, etc.). Le point présent est le lieu de focalisation de la conscience, de positionnement qui crée les coordonnées de l'espace référentiel, les polarités et l'angle d'entrée (le regard sur l'événement, le jugement et le vécu). Si l'on peut ajouter des références de sens, un autre angle de vision, on change l'interprétation du passé, le vécu et le devenir en même temps par changement d'espace référentiel.

C'est la cohérence de la conscience qui change, son degré d'harmonie et de beauté, son magnétisme (sa force d'amour ?) et tout l'univers avec elle, puisqu'elle est cet univers dans son essence (non focalisée).

Ce pas immense que nous sommes prêts à franchir collectivement dépend de l'implication personnelle de chacun de nous, de notre mise en résonance avec les grilles de valeur (scientifiques ou mystiques, peu importe, elles disent la même chose sous une forme abstraite ou imagée) les plus harmoniques possibles.

Guy Londechamp Co-fondateur de Vodaflor